Ian Fleming ne meurt jamais...


Ian Lancaster Fleming, né le 28 mai 1908 à Mayfair, à Londres, est un écrivain britannique.

C'est aujourd'hui même l'anniversaire de sa naissance... C'était il y a exactement 100 ans !!!

Casino, golf et jolies filles. Ian Fleming n'est pas le père de James Bond pour rien!. Il passe une première partie de sa vie assez insouciante. Il joue au golf et multiplie les conquêtes féminines.

Avant la Seconde Guerre mondiale, il est journaliste à l'agence de presse Reuters.
Lorsque le conflit éclate, il est recruté par l'amiral John Godfrey (directeur du Naval Intelligence Admiralty) pour faire du Renseignement. Il intègre ainsi le monde des Services Secrets sans pour autant devenir un homme de terrain.

Goldeneye. Après la guerre, il devient responsable des dossiers étrangers pour un groupe de presse. Il s'achète une maison à la Jamaïque, qu'il baptise Goldeneye.
C'est là qu'il se rendra régulièrement pour écrire ses romans, dont le premier fut Casino Royal (paru en 1952).

Les programmes de ses journées sont assez simples : il plonge dans les lagons, boit des Martini, et imagine les aventures de James Bond...
Mais d'où vient ce nom ? Alors qu'il cherchait un sobriquet pour son héros, Ian Fleming tombe par hasard sur un livre consacré aux oiseaux des West Indies (Caraïbes).
Son auteur, un ornithologue baptisé : James Bond.


Tous les romans de Ian Fleming ont été adaptés et ré-adaptés avec un immense succès au cinéma, ce qui en fait la plus longue série de toute l'histoire du 7e art.
L'agent 007 prendra successivement la peau de plusieurs acteurs : Sean Connery, Roger Moore, George Lazenby, Timothy Dalton, Pierce Brosnan et Daniel Craig.

Consumé par les excès d'alcool et de tabac, Ian Fleming décèdera d'une crise cardiaque, à Canterbury, le 12 août 1964, à l'âge de 56 ans.

Une quinzième aventure de James Bond, intitulée Devil may care (Le Diable l'emporte), écrite, en respectant le style de Ian Fleming, par le romancier britannique Sebastian Faulks, a été publiée en mai 2008, pour célébrer le centième anniversaire de la naissance de l'écrivain.

Allez, encore merci Monsieur Fleming et au plaisir de revoir : Bond... James Bond !!!

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